La paroisse est animée par une Equipe Pastorale Paroissiale, c’est à dire des personnes qui en ont reçu mission de la part de l’évêque.

Chez nous :

• 3 prêtres et 2 diacres

Mais pour mieux servir les besoins spirituels et matériels de notre paroisse, cette équipe travaille avec des "conseils représentatifs" :

• Conseil pour les affaires économiques
• Conseil de la paroisse avec des représentants des communautés.

Ainsi, au plus près de vous, un noyau de personnes sera à votre écoute, aura le souci des activités locales et répercutera les appels, les exigences de la vie paroissiale.

La nouvelle paroisse SAINTE TRINITE D’AIZENAY a été fondée par Mgr François JACOLIN le 1er Septembre 2022.
Elle remplace la Paroisse "SAINT BENOIT DES LANDES" fondée par Mgr François GARNIER le 28 septembre 1997
Cette paroisse reprend en grande partie le « bassin de vie » d’Aizenay. Un bassin de vie prend en compte les différents déplacements des populations et détermine les bourgs attractifs.

Cette paroisse aux huit clochers (Aizenay, Palluau, St Etienne du Bois, St Paul Mt Penit, La Chapelle Palluau, Grand’Landes, Maché et Apremont), et est mise sous la protection de la Sainte Trinité

L’Ancienne Paroisse était sous la protection de St Benoit « patriarche des moines d’occident », proclamé patron de l’Europe par le pape Paul VI. Les « Landes » rappellent les terres incultes de l’origine dont le souvenir reste à Grand’Landes.
Né en Ombrie (Italie), vers 480, dans une famille chrétienne de noblesse provinciale, Benoît abandonne ses études pour se jeter dans la solitude et la prière. Après avoir mené une vie érémitique puis cénobitique à Subiaco (Latium), il fonde, en 529, l’abbaye du mont Cassin. En 534, il rédige une Règle de Vie qui deviendra la base de tout le monachisme d’Occident. Chef d’œuvre d’harmonie entre le spirituel et le temporel, la prière et le travail manuel, cette Règle d’Or a fait germer une société nouvelle et n’a cessé au cours des siècles de faire progresser la vie chrétienne en Europe.

Des vitraux, dans le chœur, illustrent les vocables des églises.

*L’Eglise d’AIZENAY,construite en 1905, est placée sous le patronage de St Benoist, qui fut chargé par St Hilaire de Poitiers d’annoncer l’Evangile aux populations proches de la mer, et qui serait mort à Aizenay vers la fin du 4° siècle

• Route de Challans, dans l’ancien cimetière, une chapelle funéraire fut érigée en 1875 sous le vocable de St Joseph, patron de la bonne mort
  

*L’église de PALLUAU, construite en 1889, est placée sous la protection de St Gilles, « glorieux patron de la paroisse » selon un cantique local pour sa fête au 1° septembre. Un vitrail du chœur illustre la légende de la biche amie que le saint sauva de la flèche du chasseur.

*L’église de St ETIENNE DU BOIS construite en 1902, est placée sous le patronage de St Etienne, le premier des martyrs. A noter, une crypte de même époque

• Une chapelle, construite en 1794, au village de la Tullévrière, sur la proposition de l’abbé Ténèbre, curé réfractaire, conserve le souvenir des sinistres colonnes infernales de Turreau. Elle porte le nom de N.D. des martyrs du Bas Poitou.
  

*L’église de St PAUL MONT PENIT, construite, 1883, est placée sous le patronage de St Paul, l’Apôtre des Nations. Le nom de Mont Penit, Mont de la Pénitence indique une origine chrétienne.

*L’église de LA CHAPELLE PALLUAU construite en 1877 est placée sous le vocable de St Pierre aux Liens, Celui à qui Jésus a donné le pouvoir de lier et de délier.

• Route des Sables, une Chapelle de Notre Dame de la Miséricorde, ou encore Notre Dame des Ormeaux, fut édifiée en 1763, suite à la guérison miraculeuse d’une bergère nommée Feniotte.
  

*L’église de GRAND’LANDES, dont le porche d’entrée date du 12° siècle, est placée sous le patronage de Notre Dame de l’Assomption, dogme défini en 1950 par Pie XII.

• Route de Palluau, une chapelle, placée sous le vocable de Notre Dame de Pitié, d’origine fort ancienne, serait l’ex-voto de marins pêcheurs qui échappèrent à un naufrage et qui avaient alors fait le vœu de construire une chapelle à la Vierge.
  

* L’église de MACHE est une église de plan longitudinal à transept double et chevet hémicirculaire.
Le corps central de la façade, légèrement saillant, est encadré par des contreforts. Le portail possède un tympan en arc brisé. Il est surmonté par une baie géminée à oculus quadrilobé et ajouré.
Le clocher, de plan carré, se situe en façade. Il comporte une baie à abat-son sur chacun de ses pans et est coiffé par une flèche de charpente. Cette dernière est cantonnée par quatre clochetons.
L’église est reconstruite durant le dernier quart du XIXe siècle. L’église actuelle remplace un édifice plus ancien, très endommagé par la Révolution et devenu trop petit.
Elle est remarquable pour son transept double. A côté de l’église se dresse une statue de la Sainte Famille.

* L’église d’APREMONT
Le porche en granit, à la droite de l’église, date du XVe siècle et prend la forme d’un arc brisé mouluré. Le clocher mesure 25 mètres de hauteur et surmonte un portail à arc brisé.
La nef est surplombée par une voûte d’ogive quadripartite. De styles Néo-gothique du XVème et XXème. Construite en 1902, à l’emplacement de l’ancienne église, sous la direction de l’architecte Ballereau. Elle comporte un vitrail du XVIe siècle représentant saint Martin et plusieurs autre vitraux et une sculpture monumentale.